Valence [Tles MRC]

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Retour sur la mobilité de stage Erasmus+ de nos Terminales Bac Pro à Valence (Espagne)

16 de nos élèves de Terminales des Métiers du Commerce, de la Vente et de l’Accueil ont réalisé leur mobilité de stage en entreprises du 5 au 31 Mars dans la capitale de la Communauté valencienne, co-financée par le programme Erasmus+.

Dans le cadre de leur chef d’oeuvre (“Je partage mon expérience professionnelle et européenne”), les 12 élèves de Bac Pro Commerce ont pu expérimenter cette ouverture culturelle et professionnelle en travaillant dans des magasins de prêt-à-porter de renom comme MISAKO, GHAMTTON, CITEES ou encore dans l’institut de beauté YVES ROCHER. Une expérience professionnelle et européenne qu’ils peuvent partager avec leurs camarades et leur entourage.

Quant aux 4 élèves de Bac Pro Accueil et Vente, elles ont pu effectué leur stage à PASSION BIKE, malgré un temps défavorable en pleine période des Fallas de València…

Les élèves en parlent :

«  La mobilité était très intéressante, si c’était à refaire je le referai car ça change des stages en France.

J’ai pu découvrir une nouvelle culture et façon de vivre.

Une expérience personnelle et professionnelle enrichissante. » — Harrison (TCOM)

Interview avec Vaneyssa LEO (TACCUEIL) :​

Enseignante — Qu’as-tu pensé de ta mobilité à Valence ?

Vaneyssa — Je trouve que c’était une très bonne expérience, à refaire.

Enseignante — Pourquoi ?

Vaneyssa — Parce que je pense que ça nous donne une plus grande ouverture sur le monde et voir ce qui se passe ailleurs, surtout qu’on n’a pas forcément la possibilité d’aller vraiment dans différents pays… Nous, on y a été pour travailler, pas pour des vacances : on savait pourquoi on se levait le matin…

Enseignante  — Aurais-tu des conseils à donner aux élèves de Premières Bac Pro pour leur mobilité Erasmus+ en Juin ?

Vaneyssa — Prendre des habits chauds et bien se renseigner sur le fonctionnement du pays : surtout les horaires de bus (rires) !

Enseignante — Et pour réussir son stage en entreprise ?​

Vaneyssa — De pas être timide et d’essayer de parler spontanément, de communiquer… De ne pas avoir peur de se tromper, même si on a un mauvais accent ou qu’on rate un mot sur quatre ! Et d’éviter d’utiliser le téléphone pour traduire phrase pour phrase.

Enseignante — Donc comment on fait ?

Vaneyssa — On se débrouille, on peut s’aider de son binôme mais vraiment il faut essayer de parler spontanément.

« C’était une grande découverte ! Étonnement ce n’était pas le stage en lui-même parce qu’on n’avait pas beaucoup de clients. Mais j’ai pu communiquer en anglais avec d’autres stagiaires Erasmus+ : il y avait une polonaise, une italienne, un belge et beaucoup d’hollandais. Donc j’ai parlé plus en anglais qu’en espagnol finalement !

Ce qui était bien aussi c’est de découvrir la ville de manière autonome. Moi, je suis beaucoup sortie, j’ai visité des musées et tout, et c’était bien de se débrouiller toute seule dans la ville. J’ai beaucoup apprécié de sortir toute seule aussi, sans le groupe comme d’habitude, dans une ville que je ne connaissais pas spécialement et pouvoir me débrouiller. » — Lina (TVENTE)

« Cela a été très enrichissant mais c’est quelque chose que je ne referais pas deux fois parce que le changement de pays, le changement de culture,… Je m’attendais à mieux en stage: à avoir beaucoup de clients, beaucoup de travail, d’échange et tout… J’ai beaucoup appris sur moi-même, que je pouvais m’adapter facilement en prenant le bus par exemple. Au début c’était dur de se faire comprendre avec la famille d’accueil mais au fil du temps, on a appris à communiquer. Et au lieu de stage, on arrivait à se faire comprendre avec les autres stagiaires en anglais.

Conseils aux futurs élèves stagiaires Erasmus+ : se préparer mentalement au changement et au fait de ne pas voir sa famille pendant un mois, le fait de changer d’environnement,… C’est dur au début mais c’est vraiment une question d’adaptation. » — Raïssa (TACCUEIL)

« C’était une expérience très enrichissante et j’aimerais continuer à faire ce genre de projet. Car ça nous a permis de nous découvrir et de savoir comment on pouvait se débrouiller dans un pays étranger. » — Mariane (TCOM)

 

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